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SOLI'DEV

9 mars 2010

ASSOCIATION_KAYITI : Des maisons pour Haïti

LETTRE_PROJET_KAYITI_08032010 à télécharger

La plaquette de l'association arrive...! patience

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19 janvier 2010

SOLIDARITE HAÏTI


A ceux qui désirent être solidaire du peuple Haïtien, vous pouvez participer à des projets.

Il y a l'urgence sanitaire, l'urgence alimentaire

mais aussi la reconstruction (maisons, captages d'eau potable etc...)

et

l'avenir.
Il n'y a pas de Fatalité...!

 Les fondateurs de SOLI'DEV Aurélia et Nicolas ont vécu en Haïti en 2003-2004 où ils ont travaillé en tant que volontaire.

Après, quelques détour par l'Amérique Latine où est née l'idée de SOLIDEV, nous avons décidé d'orienté à nouveau notre engagement pour le "développement durable" vers Haïti,  et plus spécifiquement aux côtés de l'association KAYITI pour la reconstruction. (dont vous trouverez le détail sur le documents à télécharger ci dessous).

De plus, des évènements culturels seront organisés aux alentours de Montpellier par l'association SOLI'DEV au profit de projets en Haïti. (Expos photos, concert musique créole Haïtienne, cuisine...)

N'hésitez pas à prendre contact avec nous pour en savoir plus et envoyer vos dons.

L'équipe SOLI'DEV

asso.solidev@yahoo.fr

7 mai 2009

EXPO PHOTO MAISON POUR TOUS MELINA MERCOURI MONTPELLIER du 6 au 14 mai

23 juillet 2008

FILM DOCUMENTAIRE PEROU

CHEMINS DE DEVELOPPEMENT: rencontres et non-rencontre

Film documentaire sur les projets de développement au Pérou. Coproduit par SOLIDEV et HAKE RHUNA, ce film documentaire a pour objectif de sensibiliser et d'éduquer sur les problématiques de développement. Ce film a été tourné tout au long de l'année 2007 au Pérou par Aurélia Etienne et Nicolas Bordier dans le Callejon de Huaylas. Il relate des facteurs de réussites et d'échecs de deux projets de développement.

Synopsis:

Malgré la quantité de programmes d’aide au développement déployés vers les pays dits sous- développés, les indicateurs de pauvreté continuent d’augmenter. Au Pérou, dans la Cordillère des Andes, ONG et autres institutions publiques et privées tentent le pari du développement durable auprès des populations les plus défavorisées. « Chemins de développement » propose une réflexion sur les facteurs de réussite et d’échec des projets de lutte contre la faim et la pauvreté, en se basant sur l’expérience de deux projets contrastant par leurs impacts et leurs approches. Différents acteurs du développement : agriculteurs, ingénieurs, techniciens et sociologues, nous apportent leurs témoignages.

afiche_espagnol_caminos

Le DVD est disponible sur commande. 15 euros + frais de ports



Pour acheter le documentaire, veuillez télécharger le bon de commande ci dessous et suivre la procédure.

Bon_de_commande_DVD

20 avril 2008

L'agroécologie dans la province de Carhuaz Pérou

Mémoire de fin d'étude, n'hésitez pas à vous en servir, si cela peut vous servir !!!
Agroecologie_Perou_1ere_partie
Agroecologie_Perou_2eme_partie
Agroecologie_Perou3emepartie
Agroecologie_Perou4emepartie
Agroecologie_Perou5emepartie

n'hésitez pas à me contacter pour des précisions.

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19 avril 2008

Festival documentaires Huaraz 24 abril-27 abril/ Muestra de documentales Huaraz

Afiche_Docs_Sociales_Peruanos_II3

18 avril 2008

Exposicion fotografias Huaraz 24 abril hasta 1 de mayo

Exposicion_fotos

8 janvier 2008

Article revue Périféria en Espagnol

Un Article est paru dans la revue Périphéria de Huaraz sur le documentaire "Caminos de Desarrrollo. Pour les bilingues en espagnol et en anglais, ne pas hésiter à cliquer sur le lien. Pleins d'autres informations sont disponibles sur ce blog.

http://peripheria.blogspot.com/2008/01/caminos-de-desarrollo.html

Ci-aprés, le même article mais en Français.


3 décembre 2007

ARTICLE DE PRESSE

Article Peripheria
Chemins de développement est avant tout la réalisation d’un rêve, celui de faire un film documentaire, et de tenter d’apporter une réflexion sur un thème qui nous tient à cœur depuis des années, celui des inégalités et des relations Nord-Sud, des politiques et des projets mis en œuvre pour tenter de les réduire.

C’est plein de bonnes intentions que, nous aussi, avons voulu nous investir dans différents programmes de développement, dans un travail qui à nos yeux était chargé de sens.

Après plusieurs expériences à l’étranger dans différentes ONGs, notre regard sur l’approche des programmes de développement a évolué, ainsi que sur notre positionnement.

A de nombreuses reprises nous nous sommes posés la question de la légitimité et du bien-fondé de notre présence, nous, étrangers, dans une culture qui n’est pas la nôtre, à appliquer des modèles de développement qui étaient parfois peu concertés, à prétendre conseiller des agriculteurs qui, depuis des générations avaient acquis un savoir que même les livres ne nous avaient pas appris.

La réalité des programmes de développement sur le terrain était toute autre que celle que nous imaginions avant d’y participer.

Nous constations que la plupart des projets fonctionnaient tant bien que mal tant que l’ONG ou l’institution était présente, mais que lorsque le projet terminait, il ne restait que les vestiges des infrastructures construites et des noms sur un papier rappelant telle ou telle association constituée. Il arrive même qu’un projet porte préjudice aux dits bénéficiaires, en n’atteignant pas ses objectifs de départ et en créant des situations de jalousie et de colère entre communautés ou familles liées à un appui inégalitaire.

Bien sûr, il restait, quoi qu’il en soit, l’expérience.

Nous nous sommes donc demandés pourquoi la plupart des projets et programmes de développement ne permettaient pas aux populations concernées (les plus défavorisées) d’obtenir de véritables améliorations de leurs conditions de vie

Nous avons voulu tenter d’y répondre à travers la réalisation de ce documentaire.

Ce film a été tourné dans le Callejón de Huaylas, pendant 7 mois. Il propose une réflexion sur les facteurs de réussite et d’échec des projets de lutte contre la faim et la pauvreté, en se basant sur l’expérience de deux projets contrastant l’un avec l’autre par leurs impacts et leurs approches. Le premier est le programme Cordillère Noire, le programme de plus grande envergure qui soit intervenu dans le Callejón de Huaylas (24 millions d’euros, 24 500 familles bénéficiaires), mis en œuvre de 1997 à 2003, mais dont il ne reste aujourd’hui que les vestiges des infrastructures délaissées et parfois le ressentiment des communautés. Le second est le projet Agua para Siempre, avec un budget plus réduit (40 000$) mais qui continue de fonctionner aujourd’hui, 6 ans après la fin du projet.

Nous avons recueilli le témoignage de différents acteurs du développement : agriculteurs, ingénieurs, techniciens et sociologues.

Au total nous avons filmé environ 50 heures et recueilli les témoignages de 23 personnes. Nous n’avons pu garder que 10 intervenants, pour un film de 42 mn.

« Chemins de développement » sera disponible en DVD à partir de fin décembre 2007, et plusieurs diffusions seront organisées à Huaraz et à Lima, accompagnées de débats.

Ce film a été une formidable aventure extrêmement riche en apprentissages de tous types et en rencontres, lesquelles ont enrichi notre réflexion sur le développement.

Mais si aujourd’hui nous avons des éléments de réponse à notre question de départ, chaque projet reste un cas particulier.

Toutefois on constate des fondements communs aux projets qui échouent.

En premier lieu un déphasage ou une « non rencontre » entre les représentants des institutions et les dits bénéficiaires, qui sont souvent issus, à la base, de cultures et de conditions de vie différents.

Il faut du temps pour changer les représentations que les uns se font des autres, pour casser les préjugés et comprendre les perceptions de chacun. Car les projets de développement sont parfois perçus comme la poule aux œufs d’or, comme une opportunité d’appui ponctuel qu’il convient de capter. Mieux vaut prendre ce qu’il est possible de prendre tant que le projet est là. Demain sera un autre jour.

C’est ainsi qu’il existe un grand nombre d’associations de producteurs ou de coopératives qui n’ont d’associations que le nom, car une des conditions d’accès à l’appui des ONG est d’être associés en groupements.

D’un autre côté, des équipes de travail qui sont, la plupart du temps, composées de personnes ayant des formations supérieures : techniciens, ingénieurs, etc, dont certains ont encore une approche verticale et purement technique liée à une conviction de devoir transmettre un savoir que les bénéficiaires n’ont pas, de devoir changer leur façon de faire, d’orienter les activités vers l’augmentation de la productivité des terres, telle une fin en soit, et incitant à l’exportation.

Le système même de financement de l’aide internationale explique, lui aussi, cette « non rencontre ». En effet, les ONG ayant besoin de s’assurer un financement sur plusieurs années, elles répondent à différents appels à projets émis par les bailleurs de fond, dont les délais sont relativement courts. Il convient alors de formuler des projets complexes, dans un laps de temps très réduit. De même les bailleurs de fond ne financent pas la période de diagnostic préalable à un projet, lequel permet de mieux comprendre et analyser le contexte socio-économique et culturel.

C’est ainsi que de nombreux projets voient le jour dans un bureau, parfois loin de la zone où on envisage d’intervenir, formulés par une poignée de gens dont les connaissances des populations bénéficiaires sont très hétérogènes.

Or, on le sait, une des conditions de durabilité d’un projet est le niveau de participation des populations bénéficiaires, et cette participation doit se faire dès la formulation des lignes d’action.

Lé déphasage mentionné plus haut se retrouve également au niveau du temps, des échelles de temps. Le temps nécessaire à un processus de développement, donc de changements, ne correspond pas toujours à la durée des projets de développement, d’une durée de 1 à 5 ans.

Nous espérons, à travers ce film, sensibiliser un large public à ce que représente l’aide au développement sur le terrain, ainsi qu’apporter une réflexion sur certaines erreurs commises par ces expériences passées, et sur les facteurs essentiels à la durabilité d’un projet.

Ce film est une vérité et un point de vue parmi d’autre, mais à travers lui on a tenté de mettre ne relief l’aventure humaine que constitue chaque projet de développement, où la rencontre avec l’autre est essentielle et où il est indispensable de s’ouvrir à d’autres perceptions de la réalité, avec beaucoup d’humilité.

19 novembre 2007

DOCUMENTAIRE QUECHUA

WARASKS  KICHWA MARKAN, film documentaire éducatif en Quechua, a vu le jour le jour en septembre 2007. Quatres courts métrages de 13 min relatent d'anecdotes de 4 familles du callejon de Huaylas. Ce DVD est un outils pédagogique, destiné à la valorisation de la culture et la langue quechua. Ce documentaireest traduit en Français, Anglais, Espagnol, Allemenand, etc...

Pour plus d'information:
http://peripheria.blogspot.com/search/label/Documental

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